Lou-Anna Ralite étudie le cinéma à la Sorbonne puis la photographie à l’EFET en 2018. Plusieurs expositions sont à son actif, dans le cadre des Voies Off des Rencontres de la photographie d’Arles, à l’occasion d’une commande pour le magazine Le Bonbon, à La Cassette, atelier de création sonore à Aubervilliers.
En 2020, elle participe à l’exposition collective C*ensorsh*p à la galerie parisienne écho 119 sur la censure du corps féminin à travers les réseaux sociaux, publié également dans le magazine Fisheye avec sa série Haïkus et autres rhétoriques photographiques. En 2021, elle est intervenante photographe/ curatrice dans un college de Perpignan pour l’association AFEV afin de monter une Exposition photo documentaire au Palais des rois de Majorque (Perpignan).
Elle propose également des ateliers de pratiques anciennes de la photographie.
En septembre 2022, elle illustre la lettre n°23 la disparition d’habitants dans les quartiers populaires écrit par la journaliste Annabelle Martella pour le média épistolaire La disparition.
En fevrier 2023, elle photographie le reportage Marseille, la cité de la tech radieuse ? écrit par Sofiane Zaizoune pour le Madame Figaro.
En juin 2023, elle expose dans le village La perche (Berry) sa série photographiques co-réalisé avec le journaliste Jean Michel Bélot et la cinéaste Sarah Bélot sur les habitants du village. Elle occupe également le poste de Photographe de plateau sur les courts métrage de Pablo Dury, Emma Séméria, Zak Kedzi, Antoine Du jeu.
Les mutations sociales, culturelles et environnementales occupent une place majeure dans ses recherches artistiques. Loin de s’attaquer frontalement à ces sujets, elle choisit d’emprunter des chemins de traverse et propose une approche introspective et ludique dans sa narration.